Malgré un terrain de jeu considérable, on y pratique uniquement trois types de plongées.
Plongée récifale
Le premier, et c’est par là que l’on débute lors de la « check dive », est la plongée récifale. Le plus souvent dans des endroits abrités et à faible profondeur, on flâne le long du récif en commençant par le fond pour remonter en zigzaguant ou avec un aller-retour.
Plongée sur épaves
Le deuxième type est la plongée sur épaves. Anachronique comme le garage de la soucoupe plongeante de Précontinent II ou démesurée comme l’Umbria et ses 153 mètres de long. Il peut s’agir aussi bien d’une balade tranquille à l’extérieur de la structure que de plongées plus engagées dans les cales avec une lampe où il faut soigner son orientation.
Plongée sur tombants ou pointes
Le dernier type, et le plus courant, est la plongée sur des tombants ou des pointes exposés au large. Comme on attaque toujours par la partie la plus profonde, la descente peut s’effectuer dans le bleu ou suivre le relief avec une incursion dans le bleu pour tenter d’apercevoir les requins marteaux ou soyeux. Ces endroits étant parfois exposés au courant, ne jamais perdre le récif de vue pour le rejoindre en remontant tranquillement.
Les départs s’effectuent presque toujours par rotations en annexe, avec parfois un retour direct au bateau ancré sur le récif ou, plus fréquemment, avec récupération par les annexes en fin de plongée. D’où la nécessité d’avoir un parachute de signalisation.
Enfin, des plongées de nuit sont également au programme mais elle rentrent généralement dans la première catégorie avec des profondeurs modérées.